Le Salon du livre de Toronto est maintenant terminé et j’avoue que ce fût un succès. Pas un succès fracassant ou retentissant, mais disons un franc succès. Premièrement j’ai eu la chance de rencontrer plusieurs jeunes ce qui m’énergise toujours beaucoup. Puis, il y a eut les ateliers. J’avais entendu des histoires d’horreurs au sujet de ces ateliers – des salles bondées (100+) de jeunes qui se foutent éperdument des auteurs, qui ne parlent pas un traître mot de français et d’enseignants qui en profitent pour laisser leur groupe sans surveillance pour aller faire un brin de magasinage. Nul besoin de vous dire que, jeudi matin, j’étais très nerveuse et que je m’attendais au pire. Quelle ne fût pas ma surprise de rencontrer le groupe de jeunes le plus merveilleux au monde. Les classes de 3e, 4e et 5e année de l’école Jean-Paul II de Whitby ainsi que la classe de l'école Pierre-Elliot-Trudeau de Toronto. De véritables amours! Même lorsque je reverse ma tasse de thé format super-hyper-jumbo sur toutes mes notes ils ont été rayonnant et aimable. C’est d’ailleurs devenu un petit « running gag ». Ouf, catastrophe évitée! Puis, il y a eut mes ventes de livre. Dès vendredi j’ai dû apporter mes propres copies de "Déclic à Toronto" car nous avions vendu tous les exemplaires qui avaient été apporté au Salon! C’est flatteur! Finalement, j’ai fait de belles rencontres avec des auteures exceptionnelles – Diane Lacombe, Lucie Papineau, Danielle Vaillancourt et Charlotte Gingras pour n’en nommer que quelques unes (eh oui, toutes des femmes!).
Maintenant j’ai hâte de me remettre à l’écriture. Si je veux continuer à faire partie de la gang la plus cool que je connaisse il faut que j’écrive, bon sang!
mardi 4 octobre 2005
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